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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 15:16

 

La première saison de Kuroko No Basket est à présent terminée et on devrait attendre un petit bout de temps avant de pouvoir visionner la suite. Il suffit de se rendre sur les réseaux sociaux (twitter) pour voir que cet anime jouit d’une assez grosse côte. On en est pourtant qu’après 25 épisodes mais déjà IG productions m’a flanqué une grosse claque avec ce que je considère comme l’une des meilleures adaptations d’un manga de sport en version anime.

 

 

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  • Les personnages : Kagami, Kise, Aomine, Midorima voire même Kuroko lui-même sont tous des personnages dont on s’attache de manière quasi instantanée, chacun dispose de son propre style de jeu et se distingue à sa manière. Vous aurez remarqué que nombres de personnages cités font partie de cette fameuse génération des miracles. Aussi bien en terme de charisme que de niveau, ces derniers sont indéniablement au-dessus mais vachement bien travaillé.
  • Le semi réalisme : Semi réalisme car bien entendu dans ce genre de mangas, il est très rare qu’on n’ait pas de techniques irréalistes et farfelues mais dans Kuroko No Basket, cet aspect-là est loin d’être exagéré comme dans prince of tennis (que j’aime beaucoup) et conserve un certain réalisme qui fait son charme. Exemple les paniers à trois points de Midorima ou les passes de Kuroko.
  • L’animation : Pour moi le plus gros point fort de l’anime, les actions tout en mouvements passent merveilleusement bien avec des effets de lumière et une utilisation très soutenue de la 3D. Les crissements provoqués par les baskets sur le parquet, la conduite de balle aucun détail n’est laissé au hasard.
  • La durée des matches : Sur ce point-là c’est Fujimaki sensei le mangaka qu’il faut féliciter, les matches ne sont pas très longs mais extrêmement intenses ainsi aucun risque de perdre le lecteur en route et on constate le même effet dans la version anime chaque épisode durant un match à la même importance et l’attente qu’il suscite est parfois insoutenable.
  • Groundrodeo : Les deux openings qui composent cette saison sont juste excellents et sont interprétés par le groupe Groundrodeo.
  • Un démarrage sur des chapeaux de roues : Là où des Eyeshield 21 ou des Slam Dunk démarrent lentement, Kuroko No Basket démarre très fort avec des matches que l’on ne s’attend pas à voir si tôt en particulier ces parties contre les membres de la génération des miracles. Il est ainsi très facile de s’attacher à cette série.

 

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 13:34

Incontestablement, la grande majorité des shonen les plus célèbres sont issus du Weekly Shonen Jump. Néanmoins, il existe une série qui bien qu'elle cartonne au japon peine à se faire une place en France au milieu des One Piece, Naruto et autres Bleach : il s'agit de Gintama.

Les personnages

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Sakata Gintoki

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Shimura Shinpachi

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Yato Kagura

Un manga réservé aux japonais ?

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C'est le bordel !

Le contraste entre le succès de la série au Japon et en France est tout simplement saisissant. Là où chaque manga dépasse les 500 000 milles exemplaires vendus au Japon, en France aucun tome n'a jamais atteint le top 10 des ventes. Si bien que Kana (l'éditeur du manga) espace les sorties entre deux tomes pouvant aller de deux à trois mois voir plus. Difficile de ne pas voir là une sorte de résignation de l'éditeur qui avait pourtant toutes les raisons de croire en cette série.

Hideaki Sorachi

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Un singe comme mangaka ?!

Ce nom ne vous dit probablement rien, et pourtant il s'agit de celui du mangaka à l'origine la série. Dans le tome 1, il raconte comment il en est arrivé là, mais surtout il dévoile à ses lecteurs que son idée de départ était de créer une oeuvre inspirée des aventures de Harry Potter. Son éditeur quant à lui proposera à Sorachi de faire un manga sur le Shinsengumi, ce qu'il acceptera après avoir renoncé à son idée de départ et donnera naissance à ce que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de Gintama.

Un samuraï dans le futur !

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Un samrai sur une vespa !

L'histoire se déroule dans un japon féodal à la sauce High tech, vous ne me comprenez pas ? Je m'explique.

Alors que nous sommes à l'époque des samurai, un événement inattendu survint, une race d'extraterrestres connue sous le nom d'Amanto envahit le Japon. Avec sa technologie avancée, et après une guerre sans merci contre les samurai (dont le but était de protéger leur patrie), les Amanto finissent par l'emporter. Ils interdisent le port du sabre et règnent désormais en maîtres sur le pays.

C'est ainsi qu'un choc des cultures se muant par la suite en mélange intervient.

Á la lecture de ce synopsis, il est très possible que vous vous demandiez ce qui fait donc le succès de la série. S'il y aurait un mot à employer pour la qualifier, ce serait : drôle.

Je dirais même extrêmement poilante, car l'auteur ne se coltine pas à faire de son histoire une simple succession d'affrontements entre les samuraï et les amanto. Il développe un humour digne de Yakitate Ja-pan ou encore Dr. Slump, en particulier par le biais du personnage de Sakata Gintoki mais pas seulement.

Situations grotesques et Parodies 

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Bleach à la sauce Gintama ! 

Que ce soit clair, aucun personnage n'est épargné lorsqu'il s'agit d'en rire. Que ce soit le brun ténébreux ou le grand chef de la police (Shinsengumi), tous ont un caractère et c'est bien cela qui fait marrer. Certains parviennent à rester coincés aux toilettes sans PQ pour se torcher et ce, en plein milieu d'un combat. Plein d'autres situations dans lesquelles se retrouvent nos héros tous plus loufoques les uns que les autres sont tout simplement grotesques.

Mais Gintama utilise énormément la parodie, Sorachi n'hésite pas une seconde à faire des clins d'oeil à ces séries qu'il a adoré durant son adolescence comme Saint Seiya ou DBZ, mais également à des mangas encore en cours comme Détective Conan, Naruto, Bleach etc... bref tout y passe, même des artistes ou des pontes de la télévision japonaise.

L'anime

gintama01.jpg

Ça doit faire mal ! 

Sorachi le dit lui même, il craignait que son manga soit édulcoré lors de son passage sur le petit écran car il est souvent à la limite mais il n'en a été rien et on retrouve dans son intégralité l'esprit de l'auteur dans l'anime qui est un véritable régal. On se tord de rire très souvent et certains épisodes peuvent se regarder trois quatre fois qu'on en rit toujours autant. Les combats n'ont rien à envier aux spécialistes du genre  avec des plans magnifiques et des idées géniales comme le combat contre Jiraia en noir et blanc, sublime !

Il est à savoir que les 201 premiers épisodes sont en format 4:3 et non en HD ce que réclamaient les personnages depuis longtemps (c'est fou non ?!) mais c'est désormais chose réglée avec les nouveaux épisodes qui eux sont en 16:9 et en HD.

Les Etats Unis et l'Italie sont les deux seuls pays en dehors du Japon à diffuser les épisodes ce qui est tout de même très étonnant.

Un film est également sorti reprenant l'arc Benizakura et d'après ce que l'on sait un deuxième serait en cours de préparation et devrait sortir en 2012.

Conclusion

Gintama fait partie au même titre que One Piece ou Naruto des shonens à ne pas rater.

 

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 20:11

Comme vous avez pu le constater pour ceux qui suivent la version anime, Bleach a repris ses droits la semaine dernière au japon avec la reprise de l'intrigue du manga. C'est donc avec ce sujet que j'inaugure cette nouvelle rubrique, bonne lecture :).

Les débuts

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Bleach arrive en août 2001 dans le Shonen Jump, soit après Naruto et One Piece. Pourtant la série connait un succès colossal atteignant dès 2007 les 40 millions d'exemplaires vendus. Ces chiffres sont à l'image de l'engouement autour de ce manga qui, à l'époque ou le nom de Naruto était sur les lèvres de tout les collégiens français (je précise car au Japon One Piece était déjà un phénomène), Bleach venait de se faire un nom. C'est ainsi que sur les étals des magasins de grande distribution on retrouvait sans problèmes les tomes de Bleach de leurs couvertures si caractéristiques. 

L'arc Soul Society

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Il est impossible de parler de Bleach sans mentionner cette partie de l'histoire durant laquelle Ichigo et consorts se rendent à la Soul Society délivrer leur amie Rukia. Pour la plupart des fans, les meilleurs moment de la saga sont regroupés dans cet arc. Comme l'arc Namek dans DBZ ou l'arc Baroque Works dans One Piece, un shonen se doit d'avoir une partie de son intrigue qui s'écoule sur une dizaine de tomes durant laquelle le lecteur découvre à la fois une partie de l'univers mais aussi la véritable force du héros en l'occurrence Ichigo face à un ou des personnages terriblement puissants (Les capitaines du Gotei 13). Ce principe est totalement respecté par Kubo qui nous pond du tome 6 au tome 20 un manga qui ne fait que confirmer tout le bien que l'on en pense.

Malheureusement, le soufflet va vite retomber.

 

L'arc Hueco Mundo

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Après cet arc bluffant en tout points, on attend avec impatience la suite des aventures d'Ichigo et on n'est pas déçu avec l'arrivée des Arrancars et des Espadas. Des personnages léchés avec un réel style travaillé disposant de personnalités très intéressantes envahissent la place. On se dit alors que le manga a tout pour perduré et c'est à ce moment là qu'on entre dans le fameux arc Hueco Mundo. Le début est pas mal, on découvre le monde des Hollows, une étendue sombre et sinistre avec des adversaires encore plus puissants.

 Seulement voilà, alors qu'on s'attendait tous à voir un arc beaucoup moins long que le précédent, c'est tout le contraire qui se passe. Quelques combat rehaussent le niveau mais dans l'ensemble on a droit aux mêmes chapitres ternes et sans intérêts. Dans le même temps One Piece s'est forgée une renommée internationale avec des records de ventes et une histoire qui ne cesse de se renouveler, en bref c'est le jour et la nuit.

Pour ceux qui ne le sauraient pas, il faut savoir que le Jump a une sorte de classement hebdomadaire fait par les lecteurs japonais qui votent chaque semaine pour leur chapitre préféré. Même si la répercussion n'est pas immédiate, Bleach qui trustait les trois premières places en compagnie de One Piece et Naruto commence à dégringoler au profit de Reborn, Eye Shield 21 ou encore Gintama. Les japonais ont mit du temps à le faire mais la série a vu sa place de prestige lui être retirée.

Il fallut donc quatre ans (ce qui est beaucoup trop) à Kubo pour conclure ce pan de l'intrigue que je considère comme une traversée du désert pour ce mangaka qui malgré tout n'a rien perdu de son talent. On ne sait pas vraiment ce qui a bien pu se passer en coulisse pendant cette période mais une chose est sure, cette trop longue disette a causé du tort à la série.

Conclusion

Le but de cet article n'était surtout pas de fracasser ce manga mais simplement de donner mon avis. Pour ceux n'ayant pas encore eu le temps de regarder l'épisode 343, j'ai eu l'impression que Kubo souhaitait revenir aux fondamentaux, à tout ce qui a fait le succès de son oeuvre, une sorte de reboot en quelque sorte bien que le mot est un peu fort dans ce cas de figure. J'espère en tout cas qu'il parviendra à nous redonner l'envie de suivre avec entrain ses histoires. 

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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 14:47

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Présentation

Ce nom de Muramasa vous dit peut être quelque chose, pas étonnant, c'est un nom qui revient souvent lorsqu'on évoque le sabre. Avant de vous le présenter je tiens à préciser que je traiterais le Muramasa présent dans le manga Samurai Deeper Kyo.

Muramasa Sengo était un célèbre forgeron japonais qui durant le XVIème siècle fonda sa propre école. Le caractère sanguin de Muramasa a entretenu la rumeur selon laquelle il transmettait son mauvais caractère à ses sabres ce qui les rendrait "violent". On disait aussi que ces sabres étaient assoiffés de sang ce qui poussait leur propriétaires à commettre des actes horribles ou les entraînait au suicide. Le Shogun Ieayasu Tokugawa ayant été blessé deux fois par des sabres de Muramasa interdit leurs ports.

Comme vous le voyez, Muramasa est donc fortement ancré dans la culture japonaise et il n'est pas étonnant de voir son nom mentionné lorsqu'il est question de sabres.

Bien entendu dans Samurai Deeper Kyo, Akamine Kamijyo ne reprend pas à la lettre cette histoire mais s'en inspire. Un personnage du nom de Muramasa est bien présent dans le manga et comme son homonyme réel, il est aussi forgeron mais pas seulement, de plus dans le manga Muramasa affiche une sérénité à toute épreuve. Ce qui ne l'a cependant pas empêché de créer des sabres redoutables et pour certains on peut même parler d'une malédiction qui les frappe.

Il existe 4 sabres considérés comme les plus maléfiques forgés par Muramasa, elles disposent chacune d'un conscience et d'une âme. Le sabre peut choisir son maître mais peut donc également le rejeter s'il ne le juge pas assez puissant pour pouvoir le manipuler. Le propriétaire du sabre peut communiquer avec ce dernier mais cela est dangereux car le sabre maléfique peut prendre possession de son corps, en revanche si le sabre accepte de coopérer, alors le propriétaire pourra pleinement utiliser le sabre dont la puissance sera sans égale.

Ces 4 sabres sont :

  • Le Tenrô : D'une longueur de 1.50m, possédé par Kyo, ce sabre dont le but est de trouver la personne qui lui permettra de tuer le plus de personnes possible s'est attaché à Kyo étant la personne idéal pour ce sang qu'il désire tant. L'incarnation de l'âme de ce sabre est un loup blanc aux yeux rouges.

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  • Le Shibien : Il a été forgé par Muramasa pour être l'alter-égo du Tenrô, ce sabre ne ressemble pourtant pas au Tenrô tant par sa taille que par son aspect, il mesure 0.75m et est d'une couleur entièrement noire. Appartenant auparavant à Kyoshiro Mibu qui l'a utilisé afin d'accomplir de très nombreux meurtres par le passé, ce sabre s'est teinté de noir après avoir "bu" trop de sang. Kyoshiro a tellement plu au sabre que celui ci est complètement sous ses ordres. 
  • Le Hakurakishimon : Il s'agit d'un trident ne pouvant être utilisé que par un Tokugawa. Elle a la triste réputation de porter malheur aux Tokugawa car elle est étrangement liée à tous les événements néfastes qui leur est arrivé. Cependant, elle est différente des autres Muramasa car en lui offrant le "sang obscur" des Tokugawa dévoile sa véritable puissance. Mais inversement si un Tokugawa ne parvient pas à l'utiliser, Hakurashimon absorbe tout son sang et le tue.

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  • Le Hokutoshichisei : Son nom signifie "les 7 étoiles de la grande ours", ce sabre peut être divisé en deux sabres plus petits chacun représentant le groupe d'étoiles formant la grande Ours selon la tradition chinoise. Les 4 premières (kai) les 3 dernières (Hyo). D'où le nom des deux sabres Tokai et Tohyo.

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En bref, les sabres dans Samurai Deeper Kyo ont pour certains d'entre eux une conscience maléfique et perverse que Kamijyo met admirablement bien en scène grâce à son rendu graphique et son sens de l'esthétique chaque sabre est reconnaissable et dissociable des autres.

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 13:58

Présentation

13 Bleach lieutenants

 

Le Zanpakutô est l'arme de référence dans le monde de Bleach, dont chaque shinigami est dotée. Bien que sous sa forme initiale, il s'agisse d'un simple katana, les Zanpakutôs ont une conscience plus ou moins en éveil et un caractère similaire à celui de leur "partenaire".  Il s'agit aussi d'un outil de travail aux shinigamis qui s'en servent principalement pour deux fonctions :

  • Permettre aux âmes des morts de rejoindre la Soul Society.
  • Purifier l'âme des Hollows en tranchant le masque de ceux-ci.

Ce qui n'en fait pas à la base une arme de combat bien qu'elle puisse également assumer ce rôle. Sa taille varie en fonction de la puissance du shinigami bien que ceux du niveau de capitaine parviennent à maîtriser leur énergie ou alors ils manieraient des épées de la taille d'un building 

Les lieutenant et capitaines du gotei 13 peuvent faire accéder leur Zanpakutô à sa deuxième forme dès lors qu'ils connaissent le nom de ce dernier. Le Zanpakutô est alors dans un état d'éveil très avancé. Ce stade est appelé : Shikai.

Afin d'utiliser ce mode, il est primordiale de "rencontrer" ou plus précisément d'ouvrir son coeur à l'esprit du Zanpakutô et de connaître son nom, sans cela il est impossible de le faire entrer dans l'état de Shikai. 

Lorsque le Zanpakutô entre dans ce mode, il ne ressemble alors en rien à un katana et prend des formes pour le moins insolites en voici quelques exemples en images :

794.jpgFujiKujaku-YumichikaIkkaku Shikai 11018686876_small.jpg

La puissance du Zanpakutô croît de manière exponentielle tandis que le Shinigami voit ses capacités inchangés.  

Il existe cependant un second niveau que seuls les plus aguerris atteignent du fait de la difficulté à garder un niveau de concentration suffisamment constant pour maintenir le Zanpakutô sous cette forme aussi puissante que redoutable. Ce stade est appelé : Bankai.

Là encore, il existe des exigences encore plus drastiques qui font que le Bankai ne peut être utilisé par tout les shinigamis. Car il faut un entraînement d'au moins dix ans pour y accéder et autant de temps pour le maîtriser.

Le Bankai atteint parfois directement le shinigami autant au niveau physique, qu'au niveau de ses capacités de combat. Certains voient leurs vitesse décuplés, d'autre leur puissance de destruction atteindre un niveau démentiel.

Cette fois-ci encore image à l'appui :

Tensa_Zangetsu.pngHihio_zabimaru.jpg 6.jpgkuchiki-senbonzakura-kageyoshi-19360133ac.jpg

En bref, le Zanpakutô est donc un katana à utilités multiples que je trouvé bien pensé par Kubo avec des pouvoirs diversifiés et surtout des noms qui ont de la classe et dont on apprécie la sonorité même si l'on ne comprend pas un seul mot de japonais. 

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