Synopsis
L’histoire se déroule en 2036 après qu’une contamination radioactive conduise à la mise sous quarantaine de Tokyo. 20 ans plus tard, trois lycéennes qui grâce à la manipulation génétique sont immunisées contre les radiations, sont envoyées dans la ville. Ces trois filles forment l’unité baptisée Coppelion.
Mes impressions
Comme tout début, il y a une phase d’introduction et je dirais que les 17 à 18 premières minutes de cet épisode servent surtout d’entrée en matière mais cela ne signifie pas que c’était inintéressant loin de là même. Commençons par les trois jeunes filles à savoir Naruse Ibara la meneuse, Nomura Taeko la douce et Fukasaku Aoi l’enjouée. Clairement, la plus mise en valeur est Ibara, la plus charismatique et je dois l’avouer elle a de la classe. J’espère simplement qu’elle ne fera pas trop d’ombre aux autres protagonistes mais ça, seul l’avenir nous le dira. Mais alors qu’Ibara a l’air d’assumer le fait d’être particulière, ce n’est pas vraiment le cas de Taeko et Aoi (qui étant donné qu’ils peuvent respirer normalement sans masque dans cette ce Tokyo contaminé) se demandent si au final elles ne sont pas que des marionnettes. Une question existentielle qui reviendra probablement par la suite surtout qu’on ne sait pas encore jusqu’à quel niveau elles ont été modifiées génétiquement. Sont-elles encore humaines ?
En toile de fond, on découvre un personnage assez lugubre en la personne du Commandant ou Vice Principal Mishima, assez strict et faisant preuve d’un sang-froid assez sinistre de ce que l’on peut voir.
Graphiquement c’est assez spécial, le tout semble dessiné à la main mais le rendu est très bon, et ce Tokyo verdoyant mais à la fois à l’abandon où la vie n’est plus est assez fouillé. La petite scène d’action en fin d’épisode laisse présager du bon dans les combats à venir et j’ai adoré l’ending. Bref, pour un premier épisode c’est pas mal et j’attends de voir la suite.
Qu’avez-vous pensé de cet épisode ? Régissez dans les commentaires.
