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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 11:54

Highschool.DxD.949626.jpg

Synopsis (Animeka)

Élève en deuxième année au lycée privé Kuô, Issei Hyôdô passe ses journées avec ses deux amis pervers, Matsuda et Motohama, à reluquer les filles et à fantasmer au jour hypothétique où il arrivera à avoir une petite amie (ou un harem). Pourtant, une jeune demoiselle,Yûma Amano, lui demande de sortir avec elle dès leur première rencontre ! Mais les apparences se révèlent parfois trompeuses : lors de leur première sortie, Yûma, qui s'avère être un ange déchu, transperce Issei avec une lance de lumière, le laissant se vider de son sang, car elle a décelé en lui un Sacred Gear (pouvoir conférant à son possesseur une protection ou une arme contre les puissances surnaturelles). Mourant, Issei est sauvé par Rias Gremory, la pulpeuse présidente rouquine du club de recherches occultes de l'école, et se retrouve plongé malgré lui dans une guerre millénaire opposant les démons aux forces divines (anges, anges déchus, prêtres-exorcistes…) et dans laquelle son nouveau pouvoir pourrait changer le cours du conflit…

 

Mon avis

J’avais livré il y’a quelques temps mes impressions sur Highschool DXD, mais maintenant que la série a pris fin je peux vous donner un avis global sur l’ensemble et elle s’en tire plutôt bien.

Je vous avais parlé de cet univers de démons mêlé de fan service et d’ecchi, l’anime suit cette ligne du début à la fin mais avec une certaine cohérence qui rend le tout très agréable. Les personnages ont une personnalité bien propre et sont plus ou moins appréciable mais on constate un déséquilibre flagrant entre Rias et les autres, de par son charisme et sa psychologie très mise en avant les autre hormis Issei (et encore…) ne parviennent pas à crever l’écran. La partie Ecchi comme je l’ai déjà dit n’est pas vraiment conséquente mais percute et va droit au but (sans mauvais jeu de mot^^’) mais on entre jamais dans le domaine du Hentai je peux vous l’assurer. L’anime de douze épisodes se compose en deux partie distincte avec dans un premier temps une familiarisation nécessaire avec l’univers et deuxièmement une bataille plutôt intéressante avec un final que je n’ai pas du tout aimé mais ça n’engage que moi. Techniquement, l’anime tient la route même si le douzième (et dernier) épisode est pour moi bien en dessous des précédents. Bref, un anime qui bien que basé sur le ecchi laisse l’histoire se développer et de par son bon dosage fan service, phases d’actions et phases de transition forme un bon cocktail. On regrettera des épisodes parfois inutiles qui auraient pu servir à expliquer certaines chose comme le Sacred Gear qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. La fin est très ouverte et ouvre explicitement la porte à une seconde saison.
L’opening est vraiment très bon et je vous invite vivement à l’écouter.

Ma note : 15/20

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:05

Cela fait très longtemps que je n'avais plus posté de critiques concernant un anime, je vais essayer d'être plus régulier et de vous en fournir plus régulièrement (au moins une par semaine). Aujourd'hui c'est Chihayafuru qui est à l'honneur.

Chihayafuru-.jpg  

 

Synopsis (Animeka)

Enfant, Chihaya n'aspirait qu'à voir sa sœur réaliser son rêve: devenir une idole. Cependant, en faisant la connaissance d'un de ses camarades de classe nommé Arata, cette dernière se découvre une passion pour le Karuta: un jeu de carte nécessitant de retenir des poèmes par cœur. Dans un premier temps jaloux de l'admiration que porte Chihaya pour Arata, son ami d'enfance Taichi finit par accepter de former un trinôme pour s'entraîner ensemble au jeu. Malheureusement, un concours de circonstances leur fait choisir à chacun des chemins différents pour leurs études. Aujourd'hui lycéenne, Chihaya continue de jouer au Karuta dans l'espoir de recroiser un jour, la route de celui qui lui a communiqué son amour du jeu.

 

Mon avis

L’automne 2011 avait été pas mal dans son ensemble même si l’on a eu par le passé de meilleurs périodes. Pourtant, il y’a un anime qui est passé complètement inaperçu et qui méritait plus qu’un simple coup d’œil : Chihayafuru.

Malgré son synopsis peu racoleur, cet anime dispose de qualités indéniables qui en font l’un des meilleurs de l’année 2011.C’est loin d’être l’un des animes les plus connus mais une grande majorité de ceux qui l’auront regardé s’accorderont à vous dire que c’est un anime à ne pas manquer.

Chihayafuru fait partie de ces séries où le thème et plus généralement le sujet traité peut être considéré comme un point faible pour certains et un  point fort pour d’autres, ici, il s’agit du Karuta. Un jeu de carte très particulier et typiquement japonais que nous autres occidentaux connaissons très peu pour ne pas dire pas du tout (ce qui est mon cas) et qui au même au Japon n’est pas très répandu. On entre donc en même temps que notre héroïne dans cet univers complètement atypique et très vite deux solutions s’offrent à nous on accroche complètement ou l’inverse.

Chihayafuru a également la particularité de reprendre les codes des shonen sportifs avec des adversaires ayant chacun une technique de jeu bien particulière, le génie inné quasiment imbattable, les compétitions inter écoles qui viennent incorporer de nouveaux personnages plus ou moins attachants. Bref, en ce sens là, les garçons seront servis et l’esprit de compétition qui règne devrait leur permettre d’accrocher (ce fut mon cas). Mais tout ne se résume pas à cela car les relations entre les différents personnages sont développées au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire et on ne peut s’empêcher de spéculer sur la fin.

Viennent ensuite les personnages et c’est là le point fort de l’anime comme dans tout bon manga ou série télévisée, les personnages sont vraiment très attachants et en particulier Chihaya. Les émotions de son visage sont d’un réalisme extrême et cela fait son effet, on est complètement happé par sa personnalité peu commune, son acharnement et sa détermination. Elle est un peu tête en l’air et agit parfois comme ces personnages que l’on peut voir dans le shonen Jump mais reste avant tout une fille extrêmement émotive à l’intérieur aussi bien dans la joie que dans la tristesse.Taichi est très présent également et bien qu’au début tout est fait pour que le spectateur le déteste, au final on finit par apprécier sa loyauté et son dévouement. Pour Arata, c’est beaucoup plus compliqué tant son changement de l’enfance à l’adolescence est radical (d’un point de vue mental) je ne vous en dis pas plus de peur de spoiler. Les autres personnages du club sont plus ou moins intéressants avec néanmoins une véritable personnalité travaillée.

Les osts de l’anime sont magnifiques et accentuent l’émotion transmit lors d’une scène ou d’une situation particulière. Le style graphique fait que l’on pourrait l’apparenter à du Josei mais à vrai dire il m’est assez difficile de le classer dans une  catégorie déterminée.L’animation très bonne dans certains épisodes est juste excellente dans d’autre, avec des couleurs vives et chatoyantes c’est un anime très rafraichissant  à suivre et je ne peux en tous cas que vous conseillez de le découvrir et de vous faire votre propre avis.

 

Ma Note : 18/20

 L'opening intréprété par le groupe 99RadioService et intitulé Youthfull  

Pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus sur le Karuta c'est ici.
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27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 18:57

steins-gate.jpg

Synopsis

Rintarô Okabe, est un scientifique un peu paranoïaque, toujours accompagné de Mayuri et Hashida, qui l'aident dans ses expériences farfelues pour son laboratoire. Alors qu'il participait à un séminaire sur le voyage dans le temps, Rintarô rencontre Kurisu qui tente de le persuader qu'il lui a parler quinze minutes avant mais Rintarô n'en a aucun souvenir et ne se rappelle pas avoir vu la jeune fille. Peu de temps après, il retrouve le corps sans vie de Kurisu.Tentant alors de prévenir Hashida par texto, il est plongé dans une ville fantôme. En reprenant ses esprits, il retrouve Mayuri et ne comprend pas ce qui s'est passé, d'autant plus qu'entre temps, un satellite s'est écrasé sur l'immeuble dans lequel il se trouvait. L'incompréhension sera encore plus importante pour Rintarô quand il apprendra que le texto qu'il avait envoyé à hashida date d'une semaine, et que Kurisu est encore vivante.

Mon avis

Steins Gate par çi, Steins Gate par là, il ne se passait pas un jour sans que je ne voie une mention concernant cet anime dans les forums où les sites traitant de la japanimation ou des mangas plus généralement. Bien sur l'otaku qui sommeille en moi s'est jeté sur ce manga littéralement plébiscité par énormément de monde, mais après plusieurs tentatives, je ne suis jamais allé au delà du premier épisode que je trouvais à la fois ennuyant comme pas possible et surtout bordélique à souhait. Puis il y a quelques jours, alors que je n'avais vraiment rien à faire et qu'en plus c'est les vacances, je me suis forcé à look la suite car je ne pouvais admettre qu'une série aimé par tant de monde puisse être aussi fade. Autant vous dire que j'ai de nouveau appris à mes dépens à ne JAMAIS juger un anime sur un unique épisode.

Vous l'aurez compris, pour moi on tient sûrement là l'anime de l'année 2011 en concurrence avec Mawaru Penguin drum, bien qu'en y regardant de plus près cette année ne restera pas dans les annales. Mais, passons.

Il est possible que comme moi la première fois, certains d'entre vous ne seront pas allé au delà du premier épisode. Je vous conseillerai qu'une chose, faîtes vous torture! car la suite est d'un tout autre "level". De plus, cette intro sert de base mais est également primordiale pour la suite donc ne la louper surtout pas.

Commençons par les points forts, en tout premier lieu je dirai qu'il s'agit du scénario. Le thème du voyage dans le temps comme traité dans l'anime est fa-sci-nant. Les scénaristes ont dû faire un véritable travail de recherche afin que l'histoire soit la plus cohérente possible. Toutes ces théories, l'utilisation de faits réel entremêlés de science fiction, le tout passe comme une lettre à la poste. Le téléspectateur comprend au fur et à mesure les enjeux qui on peut le dire sont colossaux. Pourtant la trame débute lentement, très lentement même, comme je le disais, l'épisode 1 bien que ce soit pilier central de la série peut en rebuter plus d'un. Vous ne comprendrez rien à la fin de l'épisode, mais c'est normal (bizarre non ^^') continuez tout de même et les pièces du puzzle s'assembleront d'elles mêmes. 

 Passons maintenant aux personnages, qui ont tous ce petit quelque chose qui les différencie mais qui fait qu'on les affectionne quasi immédiatement.

steinsgate01-copie-1

Le personnage principal, jeune scientifique se faisant appeler Huouin Kyoma mais dont le vrai nom est Okabe Rintarô ou Okarin pour les intimes. Quel personnage, ma parole, une grande majorité de la touche humoristique de l'anime transite par ce personnage que l'on pourrait qualifier comme "fou" (lui même se considère comme un savant fou). Il arrive à partir dans des délires dont lui seul à le secret comme donné des noms sorties tout droit de la mythologie nordique à certaines de ses expériences, un personnage à la fois original mais à l'apparence banale qui me fait penser (toutes proportions gardées) à ces personnages de shonen comme luffy, naruto ou sangoku de par certaines caractéristiques morales.

 Vient ensuite le deuxième personnage qui fait le charme de cet anime, non pas par la personnalité mais par le chara design : Makise Kurisu. Elle est juste trop classe ! Elle n'a pourtant pas de Gun ou je ne sais quoi, mais ses yeux couleurs bleus gris, ses cheveux rouges et surtout sa tenue. Son mimique à elle, rougir pour un rien malgré son quotient intellectuelle au dessus de la moyenne.

makise_kurisu.png

Mayuri et son "tuturu" chaque fois qu'elle rencontre un ami et Hashida le pervers à la voix vraiment marrante ou encore Suzuha qui se dit être une soldate, il y a d'autres personnages mais tous les faire ferait un article beaucoup trop long ^^' en tout cas il ne vous décevront pas soyez en certains.

 

Les points faibles à présent, je dirais le premier épisode, mais bon c'est un petit point faible. Ainsi que la fin. Ne vous inquiétez pas je ne spoilerai pas, simplement elle plaira à certains et pas à d'autres.

L'opening déchire interprété par Kanako Ito et intitulé "Haking to the Gate".

En bref, avec de l'action, de la science fiction, des rebondissements et du suspense Steins Gate a clairement sa place dans les immanquables de l'année 2011.

Steins_Gate_wallpaper.jpg

Ma Note 18/20

 


 

 


    

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24 décembre 2011 6 24 /12 /décembre /2011 11:29

Anime-Guilty-Crown-Wallpaper.jpg

Synopsis (animeka)

Ayant profondément souffert de l'apparition du virus Apocalypse, qui a fragilisé les bases de sa défense dix ans auparavant, le Japon ne tient plus à présent que par le soutien extérieur de pays extérieur de plusieurs pays, maintenu par le régime militaire du GHQ où la valeur de chaque vie est devenue insignifiante. C'est dans ce contexte que Shu Ouma, jeune étudiant mal dans sa peau, trouve dans son repaire Inori, chanteuse du groupe Egoist. La jeune femme blessée, vient de dérober à Sephorah Genomics un précieux cylindre destiné à Gai, chef du groupe terroriste Croque-Morts. Débusquée par les Anti-Bodies, groupe d'intervention sous la direction du GHQ, Inori est enlevée et Shu, impuissant décide néanmoins de terminer sa mission. Interrompu par une explosion alors qu'il rencontre Gai, Shu part à la recherche d'Inori, qu'il découvre ciblée par deux Endlaves (armures mobiles) alors qu'elle tentait de s'enfuir. En s'interposant pour la protéger de leurs tirs, le cylindre contenant le Void Genome se brise alors et confère à Shu un étrange pouvoir.


Mon avis

Aaaah il y a tellement de choses à dire pour cet anime que je ne sais pas par où commencer.

Déjà, pour ceux d'entre vous qui s'attendraient à combler le vide laisser par Code Geass en regardant cet anime, je vous conseillerais de passer votre chemin car vous serez probablement déçu. On atteint ni la richesse d'un scénario à la CG, ni le chara design, mais Guilty Crown dispose de ses propres qualités mais également de ses propres défauts.

Guilty Crown, c'était un peu la super production de l'automne, l'équivalent d'un block buster américain dont on ne sait absolument rien ou presque mais qui parvient avant même sa sortie à susciter un engouement et une certaine curiosité. Tout les fans de mangas veulent avoir leur propre avis sur l'anime, est-il bien? en a-t-on fait trop?

Les trailers mettaient plutôt l'accent sur l'animation qui est il faut le dire somptueuse et pas étonnant qu'ils l'aient mis en avant. Comme je le dis lors de mes premières impressions, d'énormes moyens ont été investis, ça saute aux yeux. C'est à la fois fluide et beau avec des couleurs aux tons chatoyants quant il le faut et sombres et ternes dans les moments de tristesse. 

Le chara design est plus que correct pour certains et vraiment très bien pensés pour d'autres comme Segai le membre des Anti bodies ou encore Inori. Les mechas, originaux sans pour autant prendre au dépourvu un amateur du genre. L'univers futuriste est cohérent sans rompre avec notre présent.

Visuellement donc, on ne peut reprocher grand chose à Guilty Crown qui en met plein la vue.

Au niveau de l'histoire et du scénario, c'est beaucoup moins reluisant (de mon point de vue). Le principe de base semblait intéressant mais les objectifs du groupe dont va faire partie notre personnage principal Ouma Shu sont très flous. Si bien que parfois, on en arrive à se demander contre qui ils se battent contrairement. Car selon moi, l'absence d'un "méchant" charismatique au sein du groupe ennemi "Anti-Bodies" ne nous permet pas de visualiser concrètement l'ennemi des "Croque-Morts". Je chipote peut être ^^' mais pour moi la valeur du méchant est aussi importante que celle du héros. Harry ne serait pas ce qu'il est si Voldemort n'était pas aussi cruel et invincible. Enfin pour le moment seuls 11 épisodes sont sortis au moment où j'écris cet article et rien ne dit que ça ne bougera pas (je l'espère).

Il y a également le concept du void qui malgré une explication succincte reste extrêmement flou, une explication nous sera t-elle donnée plus tard ? Possible. 

On n'y comprend pas grand chose mais les armes sont pour la plupart cool et intéressantes.

Deuxième bémol qui m'a gêné, il s'agit de la psychologie de certains personnages. J'avais comparé Ouma Shu avec Hikari Shinji de Evangelion lors de mes premières impressions mais j'avais dit que je préférais attendre voir la suite avant de confirmer ou non s'ils avaient quelque points communs. Pour ceux qui comme moi poussent des soupirs d'exaspération concernant les réactions du Héros d'Evangelion soyez rassurer Shu est beaucoup moins ch... énervant. Ses sentiments sont telles des courbes sinusoïdales, parfois, il parvient à vous attendrir sur sa situation qui n'est pas facile avouons le mais il y a également des moments où on a l'impression de faire face à un gamin se posant des questions plus qu'inutiles. Shu est vraiment un personnage difficile à considérer, on l'aime ou ne l'aime pas.

Mais le personnage le plus déroutant est sans conteste Inori, je ne comprend vraiment pas ce que les scénaristes ont eu en tête en la créant (Attention je ne dis pas qu'ils n'auraient jamais dû la créer au contraire ^^'). J'en reviens encore à Evangelion mais pour ceux qui aimeraient se faire une idée d'Inori, c'est tout simplement l'équivalent de Rei. Inexpressive, on ne sait pas grand chose de son passé qui sera certainement révélé plus tard, Inori comme dit plus haut dispose d'un chara design très soigné mais au niveau de sa personnalité intérieure, c'est le fouillis le plus complet même après 11 épisodes. Mais c'est un personnage très intéressant et j'ai hâte de voir son évolution. 

Pourtant on s'attache très vite à d'autres personnages comme Ayase ou Tsugumi et bien sur Gai le chef charismatique des Croque morts que l'on a aucun mal à identifier comme le personnage principal.

On peut également reprocher à l'anime le fait qu'il n'entre pas en profondeurs dans les sujet traité, on se contente de survoler la surface du problème sans trop d'explication et au final on est plus perdu qu'autre chose.

L'opening interprété par Supercell intitulé My dearest est efficace et fait son petit effet.

En bref, un anime à suivre mais qui personnellement n'entre pas dans mon panthéon des très grands anime (j'entends déjà les on n'en à rien à faire de ton fichu panthéon ^^), ainsi je le conseillerai à tous ceux souhaitant découvrir de nouvelles séries sans hésiter.

Ma note 15/20

 

 

 


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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 21:20

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Synopsis (Animeka)

Kodaka Hasegawa est un étudiant comme les autres. Malheureusement, le premier jour dans son nouveau lycée ne se passe pas comme prévu. Á cause de son air de délinquant les rumeurs sur lui circulent déjà, et il ne parvient pas à se faire d'amis.  C'est alors qu'il surprend Yozora Mikazuki en train de parler toute seule. Ayant pour point commun la solitude, ils décident de former un club... un club pour se faire des amis! Ils se lancent donc à la recherche de nouveaux membres  et dans des activités dont ils n'avaient pas l'habitude jusqu'à présent. 

Mon avis

Pour ceux qui ont lu l'article concernant mon coup de coeur de l'automne, vous ne serez guère surpris en lisant mon avis sur cet anime. Bien qu'il n'y aura que douze épisodes, les personnages sont si stéréotypés (dans le bon sens du terme) qu'on s'y attache avant même de s'en rendre compte. Le cadre scolaire de cette série fait qu'on retrouve tous les lieux communs à ce genre de mangas à savoir : la salle du club, la piscine... (bref vous m'aurez compris).

Comme dit plus haut, le véritable point fort de cet anime est incontestablement ses personnages, tous plus cintrés les uns que les autres avec des caractéristiques propres à chacun. A titre d'exemple, on a : un androgyne, une étudiante en science obsédée, une fille dotée d'une poitrine plus que généreuse mais féru de jeux vidéos et d'autres encore. Tout cette bande de joyeux lurons ont un unique point en commun : ils n'ont pas d'amis. Quoique pour certains et notamment Kodaka, c'est un peu plus compliqué que ça en a l'air. Les épisodes se laissent agréablement regarder sans prise de tête avec parfois des situations ubuesque qui vous feront au moins sourire si ce n'est éclater de rire.

Très brièvement à propos des personnages, trois pourraient être considérés comme un peu plus importants que les autres: Hasegawa Kodaka, Mikazuki Yozora et Kashiwazaki Sena.

Rien que pour ces trois là, l'anime mérite d'être regarder tant on se marre lors de certaines scènes absolument tordantes comme celle du karaoké mais motus et bouche cousue ^^' vous verre bien. 

Concernant les ost du classique, la preuve c'est que je n'arrive pas à me rappeller d'un seul d'entre eux. L'opening "Zannen kei Rinjin bu" interprété par Marina Inoue et surtout l'ending "Watashi no Kimoshi" sont tout simplement excellents.

Ma note 17/20

 

    

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 19:05

conanmovie15

Comme chaque année notre petit détective à lunette fait son retour dans les salles obscurs japonaises. Il faut savoir que les films de Detective Conan au Japon cartonnent toujours et déçoivent rarement. Après un film 13 que j'avais trouvé juste excellent et un film 14 à la hauteur de son aîné, ce film 15 bien que bon dans l'ensemble ne m'a pas forcément emballé. Explications:

Mon avis

Pour les habitués des films de Conan, il ne vous aura pas échappé que les détuts sont en général assez bourrin et on entre vite dans le vif du sujet, ce film ne déroge pas à la règle avec 10 premières minutes de folies qui auraient pu avoir des allures de fin. Kudo shinishi alias Edogawa Conan et sa panoplie de gadget me fait penser à un certain Bruce Wayne, échappant aux criminels avec une vivacité et réagissant au quart de tour dans n'importe quelle situatuion. Parfois c'est même assez suréaliste mais après tout Detective Conan c'est aussi une partie de science fiction.  

Concernant l'anime en lui même, c'est tout de même un peu plus qu'une simple "enquête plus longue" avec des personnages assez travaillés comme Toma. Ls detective Boys sont toujours aussi amusants et apportent une touche de fraîcheur non négligeable.

On regrettera l'abscence de Heiji et Kazuha, la naiveté dont fait preuve Ran une nouvelle fois (de plus).

Bref, je m'attendais à mieux mais ça reste un bon film donc je vous conseille de le voir :)

Ma note : 15/20

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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 11:54

Toriko.jpg

Synopsis 

L'histoire de Toriko se déroule dans un univers où les aliments sont rois, où l'ère des gourmets à atteint son apogée, certains sont tellement difficiles à capturer qu'il faille faire appel à des Bishokuya ( Chasseur culinaire), Toriko est justement l'un des bishokuyas les plus fameux, son but étant de découvrir un maximum d'aliments afin qu'il puisse choisir ceux qu'il considère comme pouvant entrer dans son menu parfait. Accompagné du jeune chef talentueux Komatsu il part à l'aventure à la découverte de nouveaux mets.   

Mon avis

Des mangas sur la gastronomie, il en existe pléthore sur l marché bien qu'ils soient rarement adaptés en anime. Mais décrire Toriko comme un simple manga sur la bouffe serait bien trop réducteur, et surtout ne donnerait pas une vision assez globale sur cette oeuvre.

Mais avant d'entrer dans le vif du sujet, j'aimerais vous parler de l'auteur Mitsutoshi Shimabukuro qui a été l'assistant de Eiichiro Oda dans le passé ( Pour ceux qui ne le connaîtraient pas Eichiro Oda est tout simplement l'auteur de One Piece). Pourquoi cette précision me direz vous, car une personne conaissant un minimum One Piece ne pourra s'empêcher de faire le lien entre ces deux séries la première fois qu'il regardera un épisode de Toriko. Soyons clair, je ne parle pas du tout de plagiat, mais on sent que Shimabukuro a été influencé par Oda et qui pourrait l'en blâmer...

Mais il n'est pas influencé simplement par Oda et ça se sent.  

La tenue de Toriko par exemple arbore les mêmes couleurs que celle de Sangoku dans DBZ, le thème de la chasse et des niveaux de difficulté de capture peut faire penser à Hunter X Hunter, les muscles sur développés des personnages m'ont rappelés Hokuto no ken, bref l'auteur a été marqué par ces auteurs que sont Toriyama, Hara et Togashi.

Mais une fois encore je le répète je ne l'accuse pas de copier sur eux.

Pourtant, le véritable point fort de Toriko ne réside pas dans ses personnages, mais dans l'univers de la série qui a l'instar de One Piece a tout simplement l'air d'être infini. Chaque épisode nous en fait découvrir un peu plus ce monde féerique que l'on aimerait visiter au moins une fois dans sa vie. Un véritable bestiaire a été créé par Shimabukuro qui, au fil de l'aventure des héros parvient à nous surprendre, à nous faire rire et parfois même à nous faire rêver.

Shimabukuro dispose d'une imagination débordante qui me fait penser que s'il parvient à garder un tel niveau de créativité, Toriko pourrait battre bien des records à l'avenir. 

 Concernant l'animation, c'est loin d'être parfait, d'abord la censure mis en place par la production, on a peu de sang et des couleurs très "flashy" parfois même un peu trop, utiles pour mettre en valeur la qualité des aliments mais en dehors de ce cas de figure je trouve cette utilisation intempestive de l'aclairage sans grand interet. Les combats prenant et bien rythmés mais un peu trop courts, mais l'écart de taille entre certains monstres et les humains est superbement bien reproduit vous faisant échapper un "waah" lorsque vous voyez la taille de certains de ces monstres. 

Le chara design ainsi que les décors sont banals, c'est à dire correct sans révolutionner le genre pour autant. Bien que le personnage de Toriko à un véritable charisme, il n'est pas le seul d'ailleurs mais celui chez qui cela se ressent le plus. On s'attache facilement à Komatsu qui malgré son niveau au combat que l'on pourrait qualifier de nul forme un duo complémentaire avec Toriko et voir l'un sans l'autre nous procure l'étrange sensation qu'il manque quelqu'un.  

Les Seiyu bien choisi comme d'habitude sauf pour Komatsu que j'aurais préféré entendre avec une voix plus énergique (avis perso ^^').

Comme d'habitude pour finir, l'opening est de très bonne facture et les images sublimes. Pour ceux qui le chercheraient sachez qu'il est interpréter par Akira Kushida et qu'il s'intitule Guts Guts.

Ma Note 17/20

En bref, qu'on se le dise vous allez en baver devant cette série et ne vous étonnez pas si votre estomac se met à gargouiller c'est tout à fait normal. Trois épisodes de Toriko dans la journée et vous ne regarderez plus votre assiètte de la même manière croyez moi vous la trouverez terne.

 Sur ce, Itadakimasu !

 


 

 


 

 

 

  

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 19:07

Angel-Beats-All-Characters.jpg

Synopsis

 

Entre notre monde et celui de l’au-delà, il existe un lycée dont les élèves sont enclins à réaliser leur destin. Le jeune Otonashi ne se souvient pas de sa vie antérieure, mais il rejoint un groupe de rebelles conduit par Yuri. Ils vont affronter un autre groupe, celui mené par Tenshi, le président des délégués des élèves.

 

Mon avis

 

Il est certains animes qui vous marquent tant que même après avoir visionné  le dernier épisode, vous cogitez là-dessus. Angel Beats fait partie de cette catégorie parvenant avec brio à produire un spectacle de grande classe en seulement treize épisodes.

Point d’incipit, l’action débute immédiatement et plus précisément avec le réveil d’Otonashi. Il est tout a fait normal que le spectateur se sente perdu au début car tout comme Yuri et son équipe, Otonashi ne sait lui-même rien sur l’endroit où il se trouve et découvre petit à petit le fonctionnement de ce lycée qui au passage n’a de tel que le bâtiment.

Une grande majorité des personnages constituant le front de l’après vie est présentée dès le premier épisode et parmi ceux là certains sortent du lot comme TK le danseur hyperactif ou Noda toujours sur les dents. Leur leader Yuri me fait beaucoup penser à Haruhi Suzumiya tant par le poste qu’elle occupe que par sa fougue et même physiquement.

De l’autre côté nous avons Tenshi (ange en japonais), présidente du conseil des élèves et chargée de la discipline au sein de l’établissement bien que les affrontements entre Tenshi et le front de l’Après-Vie sont plus proche d’une guerre que d’un conflit entre élèves.

C’est donc dans un univers riche dont ne sait pas grand-chose que se déroule l’histoire bien qu’elle soit toujours dans l’enceinte du lycée.

Concernant les épisodes ils sont globalement intéressants bien qu’il me soit arrivé de trouver quelques un peu longuets mais dans l’ensemble c’est d’une très bonne qualité. Les tons de couleurs sont astucieusement utilisés rendant certains plans tout simplement sublimes, les combats au corps à corps très présent dans la série sont joliment orchestrés et on ressent une véritable tension à les regarder.

Mais le point où tout ceux qui ont aimé la série vont se rejoindre est je pense l’ost qui insuffle une âme à l’anime. Les Girls Dead Monster un groupe de musicienne assurent le show et croyez moi c’est extra !  Des passages méritent d’être repassés rien que pour réécouter la musique qui les accompagne.

Je vais passer aux points négatifs car comme on le sait tous rien n’est parfait en ce bas monde, et tout d’abord je trouve que des détails devraient être expliqués comme la capacité au combat de Yuri qui effectue des gestes dignes des shonen classiques d’art martiaux mais sans que l’on sache où a-t-elle bien pu apprendre à se battre. Ensuite des personnages n’ont pas été traités suffisamment et leur rôle se résume à être les rigolos de la bande en mourant parfois de façon débile bien qu’ils finissent par être ressuscités comme TK ou Takamatsu. Bien sur, je suis conscient qu’en treize épisodes il était impossible de s’attarder sur eux mais il aurait peut être été plus judicieux qu’il y ait moins de personnages.

Enfin, hormis cela on prend du bon temps avec Yuri, Otonashi et toute la bande du Front dont on s’attache facilement après peu d’épisodes.

Un opening agréable à écouter (bien que j’ai préféré la 2ème version qui n’apparait que le temps d’un épisode) mais c’est surtout les images du génériques que j’ai aimé. Intitulé "My soul, your beats" et interprété par Lia.

 

Ma Note 16/20

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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 21:15

35902510.jpg

Synopsis

D'étranges hommes masqués apparaissent dans la ville de Karakura tandis que Rukia et Renji sont envoyés dans la ville afin d'enquêter sur l'affaire. Ces hommes viennent en réalité de l'enfer et capturent la soeur d'Ichigo afin d'obliger celui-ci à détruire la porte de l'enfer et ainsi leur permettre de quitter ce lieu. Accompagné de ses amis ainsi que d'un certain Kokuto, ichigo se rend en enfer afin d'extirper Yuzu des mains de Shuren.

Mon avis

Inutile de vous présenter bleach, véritable bestseller au japon et à l'étranger qui fait partie avec Naruto et One Piece des trois oeuvres majeures actuelles du Shonen Jump. Seulement voilà, ce manga qui avait tout pour plaire a (d'après l'avis de nombreux fans que je rejoins totalement) complètement à son auteur Tite Kubo, qui semble s'être empêtré dans un labyrinthe sans fin cherchant désespérément une issue cohérente.

Il faut savoir que le film sort en décembre 2010 à un moment où la côte de popularité de Bleach s'effondre au sein du lectorat japonais, ce mastodonte qui luttait dans une bataille acharnée pour la première s'est vu rétrogradé à chaque semaine dans le classement hebdomaire du Jump. Autant dire que ce film arrive à point nommé et pourrait permettre de donner un second souffle à son aîné sur papier. 

Le début du film est plutôt surprenant puisqu'on a droit à nouveau au combat dantesque entre Ichigo complètement métamorphosé en Hollow et Ulquiorra. Je ne vois pas du tout où ils veulent en venir et la suite ne laisse présager rien de bon puisqu'on est de retour dans la ville de Karakura. Autant vous dire que j'ai été littéralement scotché par la facilité avec laquelle on passe du coq à l'âne sans aucune explication. Les scénaristes et le réalisateur n'ont apparemment eu aucun scrupule à le faire plongeant le fan de la première heure dans une longue réflexion se demandant bien à quel moment se déroule le film.

Inutile de vous triturer les méninges plus longtemps chers Otaku, puisque cette question ne dispose d'aucune réponse, ils se sont simplement appliqués à balancer les techniques et autres transformations apparues dans les épisodes et les ont intégrées au film.

Bref, passons, le film débute donc sur des chapeaux de roues et ne tarde pas à mettre en scène la bande à Ichigo combattant ces étranges adversaires au visage recouvert d'un capuchon. Les ennuis commencent pour Ichigo qui devra se rendre en enfer s'il veut récupérer sa soeur, ce qui n'est pas sans rappeler l'arc Hueco Mundo où le personnage "kidnappé" était Inoue.

Un certain Kokuto qui se lie d'amitié à Ichigo se joint à eux, j'ai bien apprécié le look délabré de ce personnage ainsi que la voix qui lui a été attribué. Il est regrétable que l'on n'en sache pas plus sur son passé.

Autre point positif, c'est l'enfer tel que représenté dans le film qui n'a rien à voir avec l'idée que l'on s'en fait, je trouve cet univers beaucoup plus intéressant que le monde des Hollows avec plusieurs niveaux les uns sur les autres donnant envie de savoir ce qu'il y a à découvrir à l'étage d'en dessous.

Pour finir, le combat final plaira aux amateurs de fan service et les mettra, je pense, dans un état extatique personnellement j'ai trouvé ça plus ridicule qu'autre chose d'autant que ça va à l'encontre de l'oeuvre originale et n'apporte strictement rien si ce n'est un bel effet visuel. Vous verrez de quoi je parle lorsque vous aurez vu Ichigo vers la fin du film.

Ma Note 9/20

Beaucoup trop d'incohérences font que je n'arrive pas à retrouver mes repères, j'ai de plus eu la désagréable impression de regarder une vidéo de promotion plutôt qu'un film d'animation.       

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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 10:21

sket_dance_1969.jpg

Synopsis

 

Il existe un club à l'académie Kaimei qui s'est donné pour mission de résoudre les problèmes auxquelles sont confrontés les élèves, ce club composé de trois amis aux profils aussi particuliers a pour nom : Sket-Dan. Ses membres ne reculent devant rien quelque soit le travail demandé et mettent un point d'honneur à accomplir la mission qui leur a été assignée.

Nous avons dans ce club très spécial :

 

Usui Kazuyoshi alias Switch : Á la fois Otaku et geek c'est le cerveau de la bande, il dispose d'informations sur pratiquement tout les élèves et s'en sert à bon escient lorsque le besoin s'en fait sentir. Particularité remarquable, il ne parle qu'au travers d'un synthétiseur vocale incorporé à son pc portable dont il ne se sépare jamais.

 

Onizuka Hime alias Himeko : La seul fille du groupe autrefois connue sous le surnom de la princesse démoniaque, cette ancienne yankee s'est bien assagie. Elle est assez émotive bien que disposant d'une force phénoménale, elle chérie sa crosse de hockey qu'elle a baptisé Cyclone qu'elle utilise comme un moyen de défense lorsqu'elle n'a plus le choix et avec laquelle elle se sent invincible. 

 

Fujisake Yusuke alias Bossun : On peut le considérer comme le chef de la bande, débordant d'énergie il représente à lui tout seul les valeurs du Sket-Dan. Bossun est le plus malchanceux des trois étant celui à qui il arrive le plus de mésaventures. Il dispose d'une capacité redoutable lui permettant (en enfilant ses lunettes) d'entrer dans un état de concentration extrême qui aboutit le plus souvent à la résolution de l'affaire. Il possède également un lance pierre avec lequel il propulse des billes de pachinko. 

 

Le Sket-Dan a donc une lourde tâche à accomplir sans compter la désapprobation du conseil des élèves qui peut être considéré comme un rival.

 

Mon avis

 

Sket Dance est à l'origine un manga pré-publié dans le Weekly Shonen Jump rencontrant un certain succès, j'ai donc voulu m'y mettre en attaquant directement la version anime. Le thème de départ n'est pas très original, il existe des flopées de mangas reprenant le cadre scolaire japonais avec plus ou moins la même histoire. C'est donc avec un certaine appréhension que je me lance sur le 1er épisode, et je dois bien avouer que j'ai été déçu. L'humour est plus que banal, l'histoire n'est pas d'un grand intérêt et l'animation ne se démarque pas. Seuls les personnages m'encouragent à donner une chance à ce manga que je comptais déjà abandonner.

J'ai donc continué à regarder et sans m'en rendre compte, j'en étais devenu accro. Les épisodes gagnent en intensité, le scénario beaucoup plus prenant et les vingt minutes passent à une vitesse folle.

Comme prévu on sent que l'auteur tient à surprendre les lecteurs avec des personnages tous plus loufoques les uns que les autres comme Yabasawa et sa bouche en trois ou Yuuki Reiko la féru d'histoires paranormal. Bref, des personnages secondaires assez récurrents, facilement identifiables et surtout apportant une profondeur scénaristique laissant un vaste champ à l'auteur. 

Le premier arc est tout simplement magnifique et surtout très drôle on ne s'ennuis pas une seconde et le suspens est réellement présent contrairement à certains épisodes assez prévisibles.

Comme je l'ai dit précédemment, l'animation n'a rien d'extraordinaire mais l'opening est vraiment kiffant et je ne m'en lasse pas de le regarder à chaque épisode.

 

Ma Note : 16/20 

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